Plongez dans l’expérience sensorielle la plus complète au monde, celle qui vous immerge au cœur d’un unique tourbillon de sensations ! Musique, danse, art, couleurs vives et carillons, raviront vos yeux et vos oreilles, quand une gastronomie savoureuse et épicée, des senteurs, des arômes et une unique joie de vivre éveilleront vos corps, nez et papilles.

Nous vous invitons à vibrer, le temps d’une semaine toute singulière, dans un pays où le métissage et la confluence des cultures sont les fondements d’une richesse et d’un syncrétisme dont nous allons nous régaler. Bienvenue au Mexique.

La Fête de Morts, à elle seule, constitue un réel prétexte de voyage. Patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO, cette célébration est un mélange de rites religieux préhispaniques et de fêtes chrétiennes sommant les vivants à honorer leurs disparus et à se réjouir de la vie.

Le Día de los Muertos se vit à l’échelle du pays.  Les rues et les places publiques, à toute heure du jour et de la nuit, donneront un spectacle inouï et continu : de l’autel à la tombe, les pétales de soucis guideront les âmes errantes vers leur lieu de repos, et les fumées d’encens de copal feront voyager les louanges et les prières. Une méticuleuse préparation de notre Royaume des vivants pour le retour des esprits.

Octavio Paz disait : « Pour l’habitant de Paris, New York ou Londres, la mort est ce mot qu’on ne prononce jamais parce qu’il brûle les lèvres. Le Mexicain, en revanche, la fréquente, la raille, la brave, dort avec, la fête, c’est l’un de ses amusements favoris et son amour le plus fidèle » 

Notre première escale, Mexico City, n’est pas moins que la plus ancienne capitale du Nouveau Monde. A la fois ville musée et immense mégalopole, cette ambivalence historique et moderne est l’inspiration d’une scène artistique et culinaire formidable. Nos pas nous mèneront sur les traces de José Clemente Orozco, David Alfaro Siqueiros et Diego Rivera, les trois artistes Muralistes les plus influents, pour tout découvrir de ce mouvement né au Mexique au début du 20^e siècle, pilier de la nouvelle identité du pays.

La seconde escale, Oaxaca de Juárez, est une ville calme et préservée.

Elle se vit dans les détails qui se cachent au coin de chacune de ses rues, derrière ses façades aux couleurs vives, dans ses églises et ses couvents… On ne compte plus les chefs d’œuvre de l’architecture baroques de la Nouvelle-Espagne, ni ses distilleries de mezcal, ou encore ses ateliers de céramique ou de tissue – une vieille tradition préhispanique de la région. Vous serez ainsi témoin de la création d’Alebrijes, des sculptures en bois de copal arborant de vives couleurs et représentant des créatures fantastiques.

Vous joignerez-vous à nous pour cette Fugue inédite ?